MYTHE OU RÉALITÉ - la vie en collocation



Vivre en colocation permet de réduire ses dépenses

RÉALITÉ

Partager le loyer, les factures d’électricité ou d’internet, l’épicerie ou le papier toilette par le nombre de colocataires est toujours plus gagnant que tout payer soi-même. Cela demande par contre un une bonne communication entre les collocs et des compromis! Il n’existe pas de recette miracle pour gérer les dépenses communes, alors l’important est de trouver une méthode qui convient à tout le monde.



Vivre en colocation avec son/sa meilleure amie, le match parfait!

MYTHE

Même si tu connais ton ami.e depuis 10 ans, tu pourrais avoir des surprises en la côtoyant au quotidien. Laisse-t-elle traîner ses bas au milieu du salon ? Ses bobettes dans la salle de bains ? Différentes manies qui peuvent faire sourire puis vite devenir difficiles à tolérer ! L’idéal, c’est donc de bien discuter avant de prendre sa décision et pendant la cohabitation, pour prévenir et désamorcer les désaccords. S'entendre sur les bruits comme la TV le soir, les gens qui entrent et sortent de l'appartement, savoir si vous faites les commissions ensemble ou pas... sont par exemple des choses importantes à aborder.



On peut savoir le coût de l’Hydro que par le propriétaire

MYTHE

Les données d’Hydro-Québec sont des données publiques. Il suffit de rentrer l’adresse du logement sur le site web pour connaître la consommation annuelle du logement.



Il faut toujours mettre tous les noms des colocs sur le bail

MYTHE et RÉALITÉ

Selon la Régie du logement : « Un colocataire est un locataire qui loue un logement, par bail écrit ou verbal, avec un ou plusieurs autres locataires. Un occupant, comme le mot l’indique, occupe les lieux avec un ou plusieurs locataires, mais sans avoir de droits ou d’obligations contractuelles à l’égard du propriétaire, n’ayant conclu avec lui aucun bail. Cependant, si l’occupant cause des dommages, il en sera tenu responsable selon le principe que toute personne doit se conduire de manière à ne pas causer de préjudice à autrui. » Malgré cette règle, pour s’assurer de ne pas se retrouver avec tout le poids des obligations, il est mieux que tous les colocataires signent le bail.